Dans la maison rouge (66′)
co-écrit/co-réalisé avec Marie-Elise BEYNE. Produit par La Chambre aux Fresques (Poitiers)-2019
A Limoges se trouve une maison du Peuple. Le drapeau CGT flotte encore aujourd’hui sur la façade Art déco de 1936. Cette maison symbolise presque à elle seule le passé rouge de Limoges, son histoire sociale et syndicale. En 1981, à l’époque où François Mitterrand autorise les radios libres, une radio syndicale, Radio luttes, s’installe à la Maison du peuple. C’est à travers les histoires croisées de ce bâtiment, des récits des personnes qui l’ont habité et de celles qui ont témoigné au micro de Radio luttes que nous parlons de l’engagement syndical.
Version de 52′ diffusée sur France 3 Nouvelle Aquitaine en décembre 2019
Ceux qui disent oui (52′)
co-écrit/co-réalisé avec Marie Ferrier. Produit par Pyramide Production (Limoges)-2016
Suite à la création d’un Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile dans une petite commune rurale du Limousin, un élan de solidarité a vu le jour. Bénévoles et militants se sont mobilisés pour faire face à des situations humaines complexes, parfois dramatiques. Les suivre au fil des mois, dans leurs engagements, leurs convictions, leurs doutes et leur enthousiasme est l’occasion unique de révéler les enjeux d’une expérience solidaire en terre d’asile.
Diffusé sur France 3 Nouvelle-Aquitaine en décembre 2016 – Programmé au festival « migrants scène » et au mois du film documentaire en 2016
Les caravanes dans la tête (60′)
écrit/réalisé/tourné – Produit par la société Pyramide Production (Limoges) -2013-
Depuis l’école primaire d’un petit village rural du Limousin jusqu’à l’expérience pilote d’accueil des adolescents du voyage menée dans un collège de Brive, ce film propose un voyage scolaire atypique pour comprendre comment l’école de la république compose, encore aujourd’hui, avec les réalités culturelles et sociétales de la communauté des gens du voyage.
Diffusé sur TélimTV déc. 2014-en 2016 Sélections dans différents festivals dont au festival Le Grand Bivouac à Alberville (Oct .2015)
Demain ce s’ra vachement mieux… (13′)
Inspirée de la chanson d’Higelin « aujourd’hui la crise… », j’ai filmé les manifestations de 1995 avec une caméra super 8 pour continuer en 2006 avec mon appareil photo numérique. Ce clip documentaire en cadence avec la foule, interroge nos lendemains.
Ahmed Pépé – (60′)
écrit/réalisé/tourné/monté avec l’aide de l’association Varlin Pont-Neuf -2005
Ahmed est le grand-père de ma fille Leïla du côté paternel. Il est né en Algérie en 1937. Il vit en France depuis 1955 et a revu son village natal pour la dernière fois en 1960. Le père de ma fille, ainsi que ses frères et sa sœur ne parlent pas de leur origine enfouie. Ce film familial à plusieurs voix, aborde les thèmes de l’immigration et de la transmission.
Diffusé dans les réseaux associatifs d’éducation populaire et dans des établissements scolaires du Limousin
Deux mois avec eux (26′)
co-écrit/co-réalisé avec Jean Jacques N’Diaye- produit par l’association Contrechamp (1993)
Nous sommes en août 1992 à Grodno en Biélorussie (300 000 habitants) située à la frontière polonaise. Ce documentaire se propose de laisser s’exprimer quatre adolescents de 15-16 ans, Tania, Sacha, Ira et Natacha. Depuis l’âge de 6 ans ils sont à l’école n°8 où ils étudient le français. A travers leur quotidien, nous tentons d’apporter une réponse à la question du film : N’est-il pas difficile d’être adolescent dans un pays, qui lui même cherche à être adulte ? Ce film est la version courte du documentaire du film « une génération spontanée ».
Sélections dans différents festivals dont Trace de vie à Clermont-Ferrand. Diffusés dans le réseau Franco- russe en Limousin – Diffusé sur le TV Biélorusse.
Génération spontanée (52′)
Comme les 15 autres ex-républiques soviétiques socialistes, la Biélorussie connait depuis l’été 1991 un bouleversement structurel profond. L’Etat essaie d’instaurer l’économie de marché, la population découvre tant bien que mal l’initiative privée. Dans ce contexte, on suit quatre adolescents biélorusses, à l’école, en famille et pendant leurs loisirs. Ils s’expriment sur leur existence avec la spontanéité de leur âge. Les messages de leur « Camarades de l’ouest » servent de levier pour aborder des thèmes plus généraux comme : Quel avenir dans cette République de Biélorussie qui fait ses premiers pas ?
Les Ratchanies (26′)
Film de fin d’étude écrit/tourné/monté avec Véronique Barret, Sandrine Beau et Marie-Stéphane Barthou. Produit par l’association Synapse (1990)
Portrait de deux religieuses, Sœur Marie et Sœur Anne-Marie, ce sont les « ratchanies », comme on les nomme dans le monde des forains. Elles vivent leur « sacerdoce » dans ce milieu nomade, dans leur caravane, de fête en fête, depuis 15 ans.
Film documentaire de fin d’étude lauréat de la promotion, sélectionné aux Etats généraux du documentaire à Lussas, Primé au festival Trace de vie à Clermont Ferrand
A découvrir prochainement trois autres films réalisés fin des années 90
Cinéma d’un drôle de type (52′)
Nous allons nous fondre dans l’effervescence de huit journées de tournage pour découvrir ce singulier réalisateur, Jérôme Amimer mais aussi les personnes qui œuvrent à ses côtés. Il a décidé de se lancer dans la création et de tourner cet été 1996 son premier film, un essai cinématographique intitulé « Une vie ne vaut rien ». Un drôle de film pour un drôle de type, réalisé en super 8 sonore, sans scénario, avec des comédiens, des techniciens tous bénévoles, auto-produit et financé par les fonds de tiroir de l’association Cinéma Impur.
Tous en choeur à Prague (67′)
Durant l’année 1995, j’ai suivi les choristes amateurs de la chorale de ma petite ville natale jusqu’à leur participation aux Chorégies Internationales de Prague. Ce « road-movie choral » réunit des personnes d’âge et de milieux sociaux différents, dont mes parents, que le même plaisir de chanter ensemble unis.
Monsieur Igor Liakin (8′)
Fin de l’automne 92, juste avant de quitter Grodno, ville biélorusse . Igor, rédacteur en chef et présentateur des journaux télévisés, nous invite à visiter les locaux de la télévision locale. Il est notre guide, il nous parle de son métier de journaliste et de la situation de son pays devenu juste indépendant alors qu’il a toujours été très proche de la Russie.